Timbre Louis XIV (1638-1715) par Rigaud YT N° 0617 (1944)

Timbre Yvert et Tellier N° 0617 (1944)

Louis XIV (1638-1715) par Rigaud

Louis XIV (1638-1715) par Rigaud

LES COTES :

valeur neuf : 0,57 €
valeur oblitérées : 0,57 €
Valeur charnière : 0,33 €

année :1944
fin d'émisssion : .18 novembre 1944
Yvert et Tellier : N° 0617
valeur faciale : 4 f + 6 f
quantité émise : 1.050.000
graveur : Pierre Gandon
dessinateur : Pierre Gandon

''Louis XIV dit Louis le Grand ou le Roi-Soleil, né le 5 septembre 1638 à Saint-Germain-en-Laye et mort le 1er septembre 1715 à Versailles, est un roi de France et de Navarre. Il règne sur le royaume de France du 14 mai 1643 à sa mort le 1er septembre 1715.
Né Louis-Dieudonné, il monte sur le trône de France au décès de son père Louis XIII, le 14 mai 1643, quelques mois avant son cinquième anniversaire. Il est le 64e roi de France, le 44e roi de Navarre et le troisième roi de France issu de la dynastie des Bourbons. Son règne de 72 ans est l’un des plus longs de l'histoire d'Europe, et le plus long de l'Histoire de France.
Il marque l'apogée de la construction séculaire d'un absolutisme de droit divin. Après une minorité troublée par la révolte de la Fronde de 1648 à 1653, Louis XIV assume personnellement le gouvernement à la mort du cardinal Mazarin en 1661 en ne prenant plus de ministre principal. Son autorité se déploie avec la fin des grandes révoltes nobiliaires, parlementaires, protestantes et paysannes qui avaient marqué les décennies précédentes. Le monarque impose l'obéissance à tous les ordres et contrôle les courants d'opinion (y compris littéraires ou religieux), parmi lesquelLa naissance de Louis est suivie, deux ans plus tard, par celle de Philippe, d'abord titré duc d'Anjou, puis duc d'Orléans vingt ans plus tard, à la mort de son oncle, Gaston d'Orléans. Celui-ci était hostile au cardinal de Richelieu, premier ministre de Louis XIII, qui le trouvait trop favorable aux nobles et aux Habsbourg. La naissance tant espérée d'un dauphin écarte du trône un comploteur impénitent . c'est ainsi une victoire politique pour le cardinal de Richelieu, premier ministre de Louis XIII.
À la mort de son père, Louis-Dieudonné devient roi sous le nom de Louis XIV. Comme il n'a que quatre ans et demi, sa mère, Anne d'Autriche, devient régente. Elle maintient contre toute attente le cardinal Mazarin comme Premier ministre, en dépit de la désapprobation des cercles politiques français de l'époque dont beaucoup n'apprécient pas qu'un Italien, fidèle de Richelieu, dirige la France.
La Régente quitte alors les appartements incommodes du Louvre et s'installe au Palais-Cardinal, légué par Richelieu à Louis XIII, pour profiter du jardin où peuvent jouer le jeune Louis XIV et son frère. Le Palais-Cardinal devient alors le Palais-Royal où des gouvernantes abandonnent le jeune Louis à leurs femmes de chambre qui cèdent à tous ses caprices, ce qui fera naître la légende colportée par les Mémoires de Saint-Simon d'une éducation négligée.
En plus de ses fonctions ministérielles, Mazarin, parrain de Louis XIV, se voit attribuer par la reine en mars 1646 la responsabilité de l'éducation du jeune monarque et de son frère, l’usage étant que les princes élevés par des gouvernantes « passent aux hommes » à l'âge de sept ans (l'âge de raison à l'époque) pour être confiés aux soins d’un gouverneur assisté d’un sous-gouverneur. Il devient donc « surintendant au gouvernement et à la conduite de la personne du roi et de celle de M. le duc d'Anjou » et confie la tâche de gouverneur au maréchal de Villeroy. Le roi et son frère viennent souvent à l'hôtel de Villeroy, non loin du palais royal. Louis XIV se lie d'amitié à vie avec le fils du maréchal, François de Villeroy. Malgré les efforts des différents précepteurs (abbé Péréfixe de Beaumont en 1644, François de La Mothe Le Vayer à partir de 1652, son meilleur éducateur étant sans doute Pierre de La Porte, son premier valet de chambre qui lui fait la lecture de textes historiques9) engagés pour lui prodiguer des cours de latin, d'histoire, de mathématiques, d'italien et de dessin, Louis n'est pas un élève très travailleur. Mais, suivant l'exemple du grand collectionneur d'art qu'est Mazarin, Louis XIV se montre très sensible à la peinture, à l'architecture, à la musique et surtout à la danse qui est, à l'époque, une composante essentielle de l'éducation d'un gentilhomme : on dit que le jeune Louis s'entraîne à danser environ deux heures par jour de 7 à 27 ans. Louis aurait bénéficié également d'une éducation sexuelle : sa mère (Anne d'Autriche) aurait demandé à la baronne de Beauvais (surnommée ''''Cateau la Borgnesse'''') de ''''déniaiser'''' Louis XIV à sa majorité sexuelle.
Dans son enfance, Louis XIV échappe à plusieurs reprises à la mort :
À 5 ans, il manque de se noyer dans un des bassins du jardin du Palais-Royal. Il est sauvé in extremis.
À 9 ans, le 10 novembre 1647, il est atteint de la variole. Dix jours plus tard, les médecins n’ont plus aucun espoir mais le jeune Louis se remet « miraculeusement ».
L'alerte la plus sérieuse pour le royaume a lieu le 30 juin 1658 : le roi est victime d’une grave intoxication alimentaire (à cause de l'infection des eaux) et de fièvre typhoïde, diagnostiquée comme un typhus exanthématique, lors de la prise de Bergues dans le Nord. Le lundi 8 juillet, on lui donne les derniers sacrements et on commence à préparer la succession mais Guénaut, le médecin d’Anne d’Autriche, lui donne un émétique à base d’antimoine et de vin qui guérit encore une fois « miraculeusement » le roi. Selon son secrétaire Toussaint Rose, c'est à cette occasion qu'il perd une bonne partie de ses cheveux et se met à porter temporairement la « perruque à fenêtre » dont les ouvertures laissent passer les quelques mèches qui lui restent.

L'épreuve de la Fronde

Après avoir célébré sa première communion à l'église Saint-Eustache le 25 décembre 1649, Louis XIV, qui n'a alors que 12 ans, entre au conseil en 1650. C'est l'époque de la Fronde, une contestation de l'autorité royale par les parlements et la noblesse qui allait marquer durablement le monarque. En réaction à ces événements, Louis XIV s'appliqua plus tard à continuer le travail commencé par Richelieu : affaiblir les membres de la noblesse d'épée en les obligeant à servir comme membres de sa cour en transférant la réalité du pouvoir à une administration très centralisée et à la noblesse de robe.
En 1648, le parlement de Paris s'oppose fermement aux impôts levés par Mazarin pour continuer la guerre contre l'Espagne. La Journée des barricades contraint le roi à quitter Paris une première fois. S'il revient assez vite dans la capitale, les exigences des parlementaires, appuyés par le très populaire Jean-François Paul de Gondi, obligent Mazarin à envisager un coup de force. En pleine nuit et dans le plus grand secret, le roi et sa cour quittent la capitale dans le but de l'assiéger et de la remettre à obéissance. L'affaire se complique quand des personnalités de la haute noblesse apportent leur soutien à la fronde : le prince de Conti, frère de Condé, Beaufort, petit-fils d'Henri IV et quelques autres veulent renverser Mazarin. Si, après quelques mois de siège Paris se rend au roi, Mazarin ne parvient pas à imposer sa volonté aux parlementaires et le conflit politique demeure.
En 1650, une nouvelle fronde appelée Fronde des princes se construit autour du tumultueux prince de Condé. Les princes sont arrêtés sur l'ordre de Mazarin, ce qui aboutit à une nouvelle guerre civile, relayée essentiellement dans les provinces (Bordeaux). En 1651, Gondi et Beaufort, chefs de la première fronde, s'allient à la fronde des princes, pour renverser Mazarin. L'appui du duc d'Orléans et une émeute parisienne obligent Mazarin à s'exiler. Le 8 février 1651, la reine et le jeune Louis essaient de s'enfuir de la capitale mais, alarmés, les Parisiens envahissent le palais royal où loge le roi, désormais prisonnier de la fronde.
Le 7 septembre 1651, le lit de justice déclare la majorité du roi. Tous les grands du royaume viennent lui rendre hommage, sauf Condé qui, de Guyenne, lève une armée pour marcher sur Paris. Défait, Condé se jette dans Paris qui se soulève devant le retour d'exil de Mazarin. Le pouvoir royal doit de nouveau assiéger Paris. Le deuxième exil de Mazarin, les exactions des troupes de Condé, les troubles populaires et la lassitude à l'égard de la guerre mettent un terme à la fronde, devenue impopulaire : la plupart des grands font leur soumission. Seul, Condé trahit la France pour se mettre au service de l'Espagne, qui avait profité du désordre pour reprendre du terrain en Flandre.
L'arrestation et l'exil de Gondi, éternel comploteur, permettent de mettre un terme définitif aux troubles.
Louis XIV est sacré le 7 juin 1654 en la cathédrale de Reims par Simon Legras, évêque de Soissons, mais laisse les affaires politiques à Mazarin, tandis qu'il continue sa formation militaire auprès de Turenne.

Mariage avec Marie-Thérèse d'Autriche

Pendant le voyage du jeune roi, le 7 novembre 1659, les Espagnols acceptent de signer le traité des Pyrénées qui fixe les frontières entre la France et l'Espagne. De son côté, Louis XIV accepte bon gré, mal gré de respecter une des clauses du traité : épouser l'infante Marie-Thérèse d'Autriche, fille de Philippe IV, roi d'Espagne et d'Élisabeth de France. Les époux sont doublement cousins germains : la reine-mère Anne d'Autriche étant la sœur de Philippe IV et Élisabeth de France la sœur de Louis XIII. Ce mariage a cependant pour but de rapprocher la France de l'Espagne. Il a lieu le 9 juin 1660 en l'église Saint-Jean-Baptiste de Saint-Jean-de-Luz.
Louis ne connaît sa femme que depuis trois jours, celle-ci ne parle pas un mot de français mais le roi « l'honore » fougueusement et devant témoins dès la nuit de noce. Selon d'autres sources, cette nuit de noces, contrairement à l'usage, n'eut pas de témoin.

Le règne du Roi-Soleil : l'apogée de l'absolutisme

Également connu sous le nom du Roi-Soleil (appellation tardive qui remonte à la Monarchie de Juillet même si le roi prend cet emblème lors de la fête du carrousel le 5 juin 166215), Louis XIV renforce la monarchie qui devient monarchie absolue de droit divin. Lorsque le 13 avril 1655, le roi qui - à 16 ans - vient de prendre le pouvoir seul décrète dix-sept édits visant à renflouer les caisses de l’État, ce qui a pour effet de faire passer le total des revenus fiscaux du royaume de 130 millions de livres en 1653 à plus de 160 millions en 1659-1660, la légende raconte qu'il aurait déclaré aux parlementaires réticents le célèbre mais contesté : « l’État c’est moi ! » (qu'il n'a en fait, jamais prononcé).
Même si Louis XIV se dissocie de l'État, dont il se définit lui-même comme, seulement, le premier serviteur et s'il indique sur son lit de mort, en 1715 : « Je m'en vais mais l'État demeurera toujours » cette phrase résume toutefois l'idée que ses contemporains se sont fait du rapport au pouvoir du roi : par des réformes politiques administratives et fiscales, par une politique étrangère et religieuse centralisant le pouvoir.

Le gouvernement Royal et les grandes réformes administratives

La prise de Pouvoir et l'élimination de Fouquet

À la mort de Mazarin, le 9 mars 1661, la première décision de Louis XIV est de supprimer la place de ministre principal et de prendre personnellement le contrôle du gouvernement, mais l'entourage du roi n'est pas convaincu de sa stature d'homme d'État. Louis doit faire ses preuves et prouver son autorité par ce « coup de majesté ».
Le roi avait été informé par Jean-Baptiste Colbert du délabrement des finances après la guerre ruineuse contre la Maison d’Espagne et les cinq années de Fronde, de l’enrichissement personnel effréné de Mazarin, dont Colbert lui-même avait profité et celui éhonté de Fouquet dont les pratiques spéculatives avaient fait leur temps. Six mois plus tard, le 5 septembre 1661, jour de ses 23 ans, le roi qui avait pu, jeune encore, constater le fort mécontentement des provinces contre la pression fiscale durant les 18 années de ministère du défunt cardinal, fait arrêter au grand jour, par d'Artagnan, Nicolas Fouquet dont il supprime par la même occasion le poste de surintendant des finances. Il crée une chambre de justice pour examiner les comptes des financiers. Même si Fouquet servit de bouc émissaire et qu’il avait pendant presque neuf ans, par son crédit personnel immense, bien rempli sa mission de pourvoyeur d’argent immédiat, il est communément admis aujourd’hui que le surintendant, qui eut le malheur d’être le dernier représentant d’un système populairement détesté, avait fini par confondre sans scrupule sa comptabilité avec celle du Trésor. Le roi avait donc besoin de montrer qui dirige le pays et d'éliminer ainsi celui dont il subissait le trop grand ascendant marqué par une fête donnée quelques jours avant l'arrestation au château de Vaux-le-Vicomte.
Après trois ans d'un procès plein d'irrégularités et influencé par le roi, Fouquet est remplacé par Colbert en 1665. Le règne personnel du Roi-Soleil commence.

L'obéissance des Provinces et des Parlements

Le Roi fait très tôt obéir les Provinces : en réponse aux révoltes de la Provence (Marseille en particulier) le jeune Louis XIV envoie le duc de Mercœur pour réduire la résistance et réprimer les rebelles à son autorité. S'ensuit une répression le 2 mars 1660, le roi entre dans la ville par une brèche ouverte dans les remparts, il change le régime municipal et soumet le Parlement d'Aix. Les mouvements de contestation en Normandie, en Anjou se terminent en 1661. L'obéissance est « plus acceptée qu'imposée ».
L'autorité du jeune souverain s'impose aux Parlements : dès 1655, il impressionne les parlementaires en intervenant en costume de chasse et le fouet à la main pour faire cesser une délibération. Le pouvoir des Parlements diminue par la mise en place de lits de justice sans la présence du roi, par la perte de leur titre de « cour souveraine » en 1665, et par la limitation, en 1673, de leur droit de remontrance.
Les décisions du Roi sont préparées dans un certain secret, après l'avis des ministres qui siègent dans un conseil qu'il réforme profondément. Ces édits sont rapidement enregistrés par les Parlements, puis rendus publics dans les provinces où les intendants, ses administrateurs, prennent de plus en plus le pas sur les gouverneurs, issus de la noblesse d'épée. Toutefois, l'état des routes, la difficulté d'avoir des informations sur toutes les paroisses, la diversité des peuples et la mosaïque des usages locaux, en particuliers judiciaires, ainsi qu'un certain respect pour les pouvoirs urbains nuancent la réalité d'un absolutisme centralisateur.

Création du Conseil royal des finances (12 septembre 1661)

La première partie du règne de Louis XIV est marquée par de grandes réformes administratives et surtout par une meilleure répartition de la fiscalité. Les douze premières années virent le pays en paix et le retour d'une relative prospérité. On passe d'une monarchie judiciaire (où la principale fonction du roi est de rendre justice) à une monarchie administrative (le roi est à la tête de l'administration). Les finances, dirigées désormais par un contrôleur général, en l'occurrence Colbert, supplantent donc la justice en tant que première préoccupation du Conseil d'en haut. Celui qui aurait normalement dû être chargé de la justice, le chancelier, François-Michel Le Tellier, finit lui-même par délaisser la justice pour se consacrer essentiellement aux affaires de guerre. Le conseil s'organise en plusieurs conseils, d'importance et de rôles divers: conseil d'en Haut, pour les affaires les plus importantes, (avec peu de ministres), du conseil des dépêches, le lundi, pour l'administration provinciale, du conseil des finances, de celui des parties, pour les causes judiciaires, de celui du commerce et de ceux chargés de la religion catholique -conseil des consciences- et protestante.
Il crée le code Louis en 1667, sorte de code civil, l'ordonnance criminelle en 1670, le code forestier, l'édit sur les classes de la Marine en 1669, l'ordonnance de commerce en 1673.
Au fil du temps, deux clans dans l'administration se constituent, rivalisent et cohabitent. Le clan Colbert gère tout ce qui touche à l'économie, la politique étrangère, la Marine et la culture alors que le clan Le Tellier-Louvois prend la mainmise sur la Défense. Le roi fait ainsi sienne la devise « diviser pour mieux régner ». En ayant deux clans rivaux sous ses ordres, il est certain qu'ils s'autocontrôleront et que cela empêche toute dérive permettant à un de ses ministres de réussir un coup d'État contre lui.
Jusqu'en 1671, le clan Colbert domine mais, quand commencent les préparatifs de la guerre de Hollande, les réticences de Colbert, qui rechigne à se lancer à nouveau dans de grandes dépenses, commencent à le discréditer aux yeux du roi. De plus, l'écart d'âge entre Colbert (52 ans à l'époque) et le roi (33 ans) fait que le roi se rapproche naturellement de Louvois qui n'a que 30 ans et la même passion : la guerre. Jusqu'en 1685, c'est le clan Louvois qui est le plus influent.

Création d'un service de police moderne

Le Roi Louis XIV est décrit comme un souverain voulant « tout savoir . Lorsque commence le règne, « Le Paris du XVIIe est quasiment invivable ». C’est d’abord une concentration dangereuse de populations : épidémies, incendies, inondations, hivers polaires, encombrements et désordres de tout genre. La ville attire des individus qui espèrent vivre mieux auprès des riches : escrocs, brigands, voleurs, mendiants, infirmes, hors-la-loi, paysans sans terre et autres déshérités. Il existe encore la Cour des miracles, le plus célèbre des ghettos incontrôlables (estimés sous Louis XIV à 30 000 individus, soit 6 % du peuplement). Paris est un souci pour le jeune roi qui n’a pas encore construit Versailles.
La création de la charge de lieutenant-général de police, confiée à Gabriel Nicolas de La Reynie permet d'envisager une approche globale de la criminalité, notamment en fusionnant les quatre services de police de Paris. Ce remaniement ouvre des possibilités plus grandes de contrôle de la population parisienne, notamment par l'éradication des cours des miracles et l'amélioration de l'urbanisme de la ville (éclairage, eau courante, etc.).
Ce service de police, ayant la confiance du gouvernement royal, va également s'occuper des grandes et petites affaires criminelles dans lesquelles de hauts aristocrates pourraient être mêlés : complot de Latréaumont (1674), affaire des poisons (1679-1682), etc.

Édit de fondation de l’hôpital général de Paris (27 avril 1656)

Cet édit (de Grand Renfermement) a pour objet d’éradiquer la mendicité, le vagabondage et la prostitution. Il est conçu sur le modèle de l’hôpital lyonnais (l’hospice de la Charité établi en 1624) et s’attire à son service les membres de la compagnie du Saint-Sacrement. Il regroupe les trois établissements de la Salpêtrière, de Bicêtre et de Sainte-Pélagie. En dépit des peines et des expulsions prévues pour ceux qui ne regagnent pas l’hôpital, cette mesure qui horrifiait Vincent de Paul, faute d’effectifs suffisants, sera un échec.''
Source Wikipédia

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